COMMISSION « PRATIQUE AU SEIN DES SERVICES SUBVENTIONNÉS PAR LA PRESTATION DE SERVICE MÉDIATION FAMILIALE »

L’APMF au Comité national partenarial de la médiation familiale participe avec une voie consultative et ce, depuis sa création.

Ce comité national coordonné par la CNAF et la DGCS réunit les 4 acteurs qui participent au financement public de la médiation familiale (et depuis 2014 à celui des Espaces Rencontres) :

  • La CNAF, dans le cadre de sa Convention d’Objectifs et de Gestion avec l’État (Actuellement la COG 2013-2017 est reconduite à l’identique pour une année)
  • La DGCS qui depuis 2015 ne finance plus directement les services de MF
  • La Caisse Centrale de la Mutualité Sociale Agricole
  • Le SADJAV : Service de l’Accès au Droit et à la Justice et de l’Aide aux Victimes, qui y participe pour le Ministère de la Justice

Des associations et fédérations sont associées aux travaux menés dans cette instance :

  • L’APMF
  • La FENAMEF
  • La FFER
  • L’UNAF

Ce comité national est réuni 2 fois par an, dans l’intervalle, des comités techniques sont réunis pour travailler les sujets qui seront validés par le comité national.

Depuis sa création, les président-es de l’APMF y ont toujours participé avec un administrateur.

Même si elle concerne uniquement les services subventionnés par la PS, cette instance parce qu’elle réunit notamment des acteurs nationaux de politique publique, est un lieu où les valeurs et la philosophie de la médiation familiale, l’éthique de pratique, son développement, les conditions professionnelles de son exercice doivent mobiliser tout notre intérêt, notre attention et notre vigilance.

La gestion publique et les injonctions d’organisation qu’elle entraine ne doivent pas détourner les employeurs et les praticiens de l’éthique de pratique de médiation familiale.

Ce comité est très attentif à nos recommandations :

  • La formation spécifique de médiateur familial puis le DEMF
  • Les règles déontologiques de la médiation familiale
  • La nécessité de l’analyse des pratiques
  • Le droit à la formation sous toutes ses formes (formation continue, participation aux réseaux nationaux APMF et FENAMEF notamment, aux conférences, débats…)
  • Le volume d’activité
  • La reconnaissance la nécessaire variétés des activités des médiateurs familiaux (entretiens, informations sur la MF, participation à des réseaux professionnels locaux…)

Aujourd’hui, le Conseil d’Administration souhaite constituer un groupe de travail composés de praticiens et d’employeurs, qui puisse suivre ces travaux, relayer les préoccupations des praticiens, interpeler cette instance nationale en lorsque des questions se posent localement et pouvoir en faire retour sur le territoire.

Les travaux en cours : Le référentiel national partenarial de financement de la médiation familiale.