Outils de communication

LA REGION LORRAINE VOUS PRESENTE DEUX OUTILS DE COMMUNICATION

Depuis quelques mois, la région APMF Lorraine est au travail autour de la réalisation de deux outils de communication qui ont été validés par le Conseil d’Administration.

Le Conseil d’Administration et la région Lorraine ont souhaité rendre ces outils accessibles à chaque adhérent, vous pourrez les télécharger directement ci-dessous:

Ce contenu est réservé aux membres de l'APMF. Cliquez ici pour adhérer.

 

 

 

 

Journée Nationale d’Etude APMF 2023

JOURNEE NATIONALE D’ETUDE LE 26 MAI 2023 A RENNES

A quoi sert la MF ?

A qui sert la MF ?

Et vous dans votre pratique, que repérez-vous des effets des entretiens sur les personnes ?

Venez partager votre expérience, échanger vos arguments avec vos pairs et des chercheurs !

N’hésitez pas à partager sur vos réseaux sociaux!

Inscription obligatoire avant le 15 mai 2023.

Programme complet

Bulletin d’inscription

 

 

 

 

PRECONISATIONS RELATIVES AU STATUT ET A LA REMUNERATION DES MEDIATEURS FAMILIAUX D.E.

Chères adhérentes, chers adhérents,

Vous trouverez ci dessous les préconisations de l’APMF relatives au statut et à la rémunération des médiateurs familiaux, faisant suite au travail entrepris par la commission “Statut et rémunération des Médiateurs Familiaux D.E.”

Continue reading “PRECONISATIONS RELATIVES AU STATUT ET A LA REMUNERATION DES MEDIATEURS FAMILIAUX D.E.”

Retour sur la Journée Nationale d’Etude APMF à Montpellier

« Vulnérabilité et Médiation familiale : Quels professionnels, quel partenariat ? »

Ainsi fut donc le thème de la journée nationale d’étude APMF proposée ce vendredi 22 avril 2022 à Montpellier.

Entendons ici Vulnérabilité comme une fragilité liée à un état de santé psychique, mentale ou physique, mettant dès lors la personne concernée dans une impossibilité de « gérer pleinement » sa vie. Familles et professionnels se questionnent sur les communications à mener en famille dans ces situations où peuvent flamber tensions et/ou conflits lié(e)s au contexte ou aux positions respectives des membres d’une famille.

L’existence de cette journée est née de rencontres et de réflexions entre mandataires judiciaires, juges des tutelles, et médiateurs familiaux. La médiation familiale peut-elle être opportune avant, pendant, après les mesures de protection quel qu’elles soient ? Comment peut-elle être propice à ces situations familiales ?

Le sujet est ouvert et lancé. Préambule obligatoire afin que nous sachions tous et toutes de quoi il en retourne, une présentation est faite de ce qu’est la Médiation Familiale en son sein (ses principes éthiques, son fonctionnement, ses modalités), et de ce que sont les mesures de protection judiciaires (tutelle, curatelle, sauvegarde, etc…)

Ces premières interventions font d’ores et déjà « bouger les lignes », ouvrent un questionnement, interrogent les ponts pouvant s’effectuer entre ce que peut offrir l’espace de médiation familiale et les situations rencontrées par les mandataires judiciaires, ou les juges de tutelle mineur ou à la protection des majeurs.

D’emblée, les intervenants et le débat avec la salle laissent à penser combien la médiation familiale a toute sa place dans le parcours de certaines familles qui subissent l’impact d’un contexte de vulnérabilité (pour mineur, majeur, personne âgée, etc…)

La mesure de Tutelle pour mineur et son conseil de famille : de la saisine du juge à la mise en œuvre du soutien à la famille, tuteur ou subrogé tuteur ; la place de la médiation familiale

Le Juge des Tutelles des mineurs de Montpellier, convaincue des bienfaits de la médiation familiale pour l’avoir « expérimenté » en tant que Juge aux Affaires Familiales, viendra nous dire comment, dans son rôle de magistrat, elle s’appuie sur cet espace de communication familiale dans ce contexte particulier, réunissant les familles maternelles et paternelles autour du devenir de l’enfant (ou des enfants) mineur.

Saisie suite au décès des parents d’un enfant mineur, il va s’agir pour elle de mener à bien un conseil des familles ayant pour but de nommer un tuteur et subrogé tuteur pour l’enfant mineur. Les deux Familles maternelles et paternelles peuvent se trouver dans un contexte délicat ; des tristesses, des peines, des tiraillements, et au-delà du décès, des tensions liées à « qui va avoir l’enfant (ou les enfants) en charge ? ». Des situations sont actuellement en médiation familiale dans ce contexte.

La médiation familiale et les Mandats de protection : un partenariat avec les Udaf

C’est avec un éclairage certain des enjeux et des positionnements politiques que notre Chargée de mission de l’Unaf est venue témoigner d’une expérimentation menée depuis deux ans maintenant entre les Udaf et les services de médiations familiales, pouvant répondre à des besoins spécifiques rencontrées par des familles dont un membre bénéficie d’une mesure de protection judiciaire. La route est encore longue pour simplifier cette pratique.

Et en même temps, une professionnelle, à la fois mandataire judiciaire et médiatrice familiale, vient nous exposer des situations concrètes qui viennent renforcer l’idée de la place de la médiation familiale dans le parcours des familles. Connaissant bien les deux métiers, elle expose l’efficience de l’offre de l’espace de médiation familiale dans certaines situations « coincées » dans des positions et logiques conflictuelles, successorales, par manque réel de communication.

Elle nous expose des situations qu’elle accompagne en tant que mandataire judiciaire et combien la médiation familiale pourrait être une ressource d’expression des ressentis, des positions, des vécus pour chaque membre, qui, s’il était investi par la famille, faciliterait certainement le suivi de la mesure.

La médiation familiale comme alternative pour rester Sujet au-delà des fragilités

Ce travail partenarial entre professionnels ne doit pas nous éloigner de la personne elle-même et de sa famille. Ce sont bien ces personnes qui restent au cœur de notre pratique. La médiation familiale, loin d’être magique, semble pourtant proposer des avantages certains à ces personnes vulnérables et leur famille afin de redéfinir les places de chacun, de « qui décide quoi, comment, et pour qui ».

L’état des personnes atteintes de maladie lourde de conséquence, tel qu’Alzheimer par exemple, est abordé avec des spécificités à aménager dans le cadre de la médiation familiale sans « trahir » son éthique et ses principes.

Mandataires judiciaires et Juges des Tutelles s’accordent à dire qu’il ne faut pas faire l’économie de l’orientation vers l’espace de médiation familiale dès lors que cela semble opportun afin de ne pas laisser se détériorer plus en avant encore les relations familiales déjà « abimées » par le contexte. Un des Juges présent, convaincu également de ce que peut apporter la médiation familiale, incite les mandataires judiciaires à en faire la demande dans leur requête afin que cette mesure puisse être ordonnée par les juges des tutelles eux-mêmes.

Les mandataires judiciaires, présents et peu sensibilisés jusque-là au sujet de la médiation familiale, fort de cet éclairage et partage de pratique professionnelle, prennent la parole : dés lors, ils intégreront cette possibilité auprès des familles.

ALORS, ALORS, ….que dire davantage ? Les retours sont très positifs ! 80 % des feuilles « Votre Avis » ont été remises, avec un taux de satisfaction important (supérieur à 8 en moyenne !!) sur tous les items ! Tant du côté des participants que du côté des intervenants, soit 72 personnes, la journée a été riche d’apports réflexifs et d’ouverture !

Si Sieur Covid et Dame grève Sncf n’étaient venus s’immiscer dans le quotidien de bien des personnes qui souhaitaient participer à cette journée, nous aurions été plus nombreux ! Et plus encore si le suivi des débats par visio aurait été possible ; la demande en ce sens était élevée. Sur cette journée-ci, l’organisation hybride ne fut pas ni envisageable, ni retenue.

L’intervention des clowns analystes de la compagnie « Atoutclown », venant faire les intermèdes entre chaque intervention, a fait l’unanimité !! Le regard décalé s’est montré, une fois de plus, un élément percutant !

Retenons une remarque fort intéressante qui a été transmise : un manque dans cette journée : la présence de médecins experts décidant de la nécessité d’une mesure de protection ! Merci aux mandataires judiciaires qui nous en ont fait part.

Pour finir, comme sait si bien l’énoncer notre Vice-Présidente, Audrey RINGOT, « nous continuons à être convaincus de la nécessité de ces journées d’étude où se pose la question des responsabilités partagées et de la Co-construction du travail partenarial, chacun faisant de sa place. »

Ainsi va l’avenir de la Médiation familiale, avec de beaux jours devant elle !!

MERCI A TOUS ET TOUTES pour cette belle journée de partage de réflexions !

Un grand Merci à la petite équipe bénévole de l’organisation du Jour J, venant ainsi rendre les choses possibles !!!

Nathalie Maufroy

 

 

Journée Nationale d’Etude APMF

JOURNEE NATIONALE D’ETUDE LE 22 AVRIL 2022 A MONTPELLIER

Cette journée nationale d’étude aura pour thème: Vulnérabilité et médiation familiale : quels professionnels ? quels partenariats ?

Cette réflexion répond à un besoin de ce partenariat en développement entre les médiateurs familiaux et les professionnels des mesures judiciaires à la protection des majeurs ou tutelle pour mineur.

Inscription obligatoire avant le 8 avril 2022.

Voir le programme

Bulletin d’inscription

 

 

 

 

Travaux au sein de l’instance nationale

LES TRAVAUX REPRENNENT AU SEIN DE L’INSTANCE NATIONALE

Depuis 2018, les travaux de l’instance nationale étaient quelque peu en sommeil, même si régulièrement la CNAF nous a sollicité pour des éclairages sur le sens de nos pratiques. Pour rappel, cette instance nationale est composée des financeurs et des réseaux nationaux que sont l’APMF, la FENAMEF, la FFER et l’UNAF.

L’instance nationale, créée en 2006 (date de la création de la Prestation de Service), a pour objectif de suivre l’activité des services conventionnés de médiation familiale. Depuis 2015, l’activité des Espaces de rencontres fait également partie de cette instance.

En 2021, cette instance s’est élargie à d’autres accompagnements : Les LAEP et les Relais enfants parents (en soutien aux parents incarcérés) et se nomme désormais l’Instance Nationale Ruptures familiales.

D’autres acteurs contribuant à ces missions sont donc venus participer à la réflexion partagée, du côté des pouvoirs publics : l’adiministration pénitentière, et du côté des réseaux : le CNIDFF, la Fédération nationale des Relais parents enfants et le Conseil National des Barreaux, lequel n’a jamais été présent pour l’instant.

Vous trouverez ici la feuille de route de cette nouvelle instance.

 

 

 

 

Enquête statut et rémunération des MF D.E.

Chères adhérentes, chers adhérents,

Voici les dernières nouvelles du groupe de travail  : STATUT et REMUNERATION des MF DE

Les résultats de l’enquête à laquelle vous avez été nombreuses-eux à répondre en janvier 2021 ont été présentés  sous forme d’un power point à l’AG du 30 mars 2021 et lors d’une réunion en visio qui a réuni 25 personnes le 2 juillet 2021.

Continue reading “Enquête statut et rémunération des MF D.E.”

Rapport d’évaluation de la TMFPO par l’APMF.

POSITIONNEMENT ET RECOMMANDATIONS DE L’APMF SUR L’EXPÉRIMENTATION DE LA TMFPO

 

VEILLE ÉTHIQUE ET ÉVALUATION PARTICIPATIVE INTERPROFESSIONNELLE DE L’APMF 2017-2021

Ce rapport réunit différents travaux et réflexions. Il a été réalisé par des praticiens•ciennes de la médiation familiale accompagné•e•s par Nicolas LAURIOT DIT PREVOST, sociologue indépendant.

De nombreuses consultations ont ét contribué à cette évaluation : rencontres de médiateurs et médiatrices familiales engagées dans cette expérimentation ou non, des magistrat.e.s, des avocat.e.s, des greffier.e.s, le SADJAV, l’UNAF, la sociologue Camille ARNODIN qui a mené l’évaluation de la TMFPO pour l’UNAF., questionnaires d’évaluation…

 

TMFPO-Rapport d’évaluation par l’APMF – Mai 2021

 

RENOUVELLEMENT DES LISTES DES MEDIATEURS AUPRÈS DES COURS D’APPEL

 « A l’expiration du délai de trois ans, la liste est intégralement renouvelée. Les personnes désirant être inscrites à nouveau déposent une demande au moins six mois avant l’expiration de leur inscription » (Art. 7 du Décret no 2017-1457 du 9 octobre 2017)

Nous vous invitons à vous rapprocher de la (ou des) cour d’appel auprès de laquelle vous souhaitez déposer votre dossier sans attendre le dernier moment.

 

Si l’article 1er du décret fait mention d’une rubrique spéciale pour les médiateurs familiaux, l’APMF a pu parfois regretter que certains médiateurs n’ayant pas la formation attendue de médiateur familial, puissent être inscrits dans cette rubrique.

Ainsi l’APMF a souhaité, dans un courrier qui sera envoyé dans chaque cour d’appel, rappeler la formation et qualification des médiatrices familiales et médiateurs familiaux diplômé-e-s d’Etat (DEMF) – diplôme de niveau 6 (nomenclature au 01.01.2019 – niveau master 1).

Si vous souhaitez joindre ce courrier à votre dossier de candidature, vous pourrez le télécharger en allant dans votre espace adhérent. sur la page Boite à outils du praticien

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L’APMF AU SEIN DE MÉDIATION 21

 

Médiation 21

 

Pour l’APMF, penser la médiation familiale avec les organisations nationales de la médiation, comme nous l’avions fait au moment de l’élaboration du Code de Déontologie des Médiateurs en 2009, est indispensable pour exister avec la communauté des médiateurs pour promouvoir ensemble une médiation de qualité et faire valoir ensemble la singularité de la médiation.

 

Pour les médiateurs familiaux, il s’agit de faire reconnaitre la spécificité de la médiation familiale et la particularité du conflit dans la famille :

Chaque famille représente une construction complexe, aux dimensions multiples, à la fois psychologiques, culturelles, sociologiques, légales.

Le conflit, lorsqu’il surgit, vient résonner sur ces différentes dimensions, et parfois réveiller des souffrances antérieures.     
Le médiateur familial doit être un professionnel en capacité de garantir qu’aucune de ces dimensions ne sera ni ignorée ni privilégiée.

Notre spécificité réside à la fois dans cette conviction et dans le travail singulier autour du lien familial qui perdure malgré les ruptures.

Liens et relations dans la famille sont étroitement reliés, ce d’autant que les séparations ne délient pas tous les liens.

C’est la formation longue au Diplôme d’État qui permet au médiateur familial de prendre en considération toutes ces dimensions.

 

Le Collectif Médiation 21  est la réunion d’organisations qui promeuvent la médiation (familiale, inter ou intra  entreprise, sociale, commerciale…).

Le Collectif Médiation 21 

 

La charte

Charte Médiation 21

Les principes auxquels nous nous sommes engagés :

  • Promouvoir une médiation de qualité auprès des utilisateurs, des prescripteurs et des pouvoirs publics,
  • Parler d’une voix commune, sans chercher à promouvoir sa propre entité, et dans le respect de la diversité des entités existantes,
  • Préserver les valeurs essentielles que sont le libre engagement, la confidentialité, la neutralité, l’indépendance et l’impartialité du médiateur, et la bienveillance de toutes les parties prenantes,
  • Ouvrir la participation au Collectif Médiation 21 aussi largement que possible afin de lui conférer une forte représentativité.

 

En juin 2018 se sont tenus les États Généraux de la Médiation avec une vaste consultation sur six thèmes : Le statut du médiateur, son éthique et sa déontologie, sa formation initiale et continue, sa spécialisation ou  spécialité, les modalités de sa désignation, et enfin sa communication.

Des groupes de travail au sein de Médiation 21 ont élaboré une synthèse des contributions recueillies, à partir desquelles trois à quatre projets de résolutions et/ou de recommandations ont été proposé.

 

L’objectif est d’aboutir à la rédaction d’un Livre blanc de la Médiation qui :

  • Présentera les résolutions et recommandations adoptées lors des États Généraux,
  • Sera communiqué aux pouvoirs publics, et largement diffusé auprès des prescripteurs de médiation,
  • Pourra être regardé comme une synthèse des propositions portées par le plus grand nombre possible d’acteurs de la médiation,
  • Contribuera à la réalisation de l’objectif de Médiation 21, qui est de parler d’une voix commune,
  • Constituera un socle sur lequel pourront se développer d’autres synergies et se construire d’autres projets.

 

Le Livre Blanc de la Médiation

Depuis aout 2018, les membres du Copil de Médiation 21 travaillent ardemment à la rédaction du Livre Blanc de la Médiation sur 3 thématiques apparus comme essentielles lors des États Généraux : La formation des médiateurs, l’éthique et la déontologie et la création d’un statut de médiateur.

L’APMF s’est impliquée particulièrement dans le groupe de travail Formation.

Le 6 décembre 2018, une délégation composée de Claude DUVERNOY (FFCM), Patricia MALBOSC (Planète Médiation), Gabrielle PLANES (ANM), Audrey RINGOT (APMF) a rencontré la Directrice adjointe de la Direction des Affaires Civiles et du Sceau, Madame Valérie DELANAUD pour lui présenter les projets du Livre Blanc et de la création d’un Conseil National de la Médiation. Nous avons reçu une attention et un intérêt réel, Madame DELANAUD s’est dite impatiente de prendre connaissance de ce Livre Blanc et des propositions que nous lui soumettrions.

Notre volonté est d’accompagner les pouvoirs publics dans la création d’un Conseil National de la Médiation qui sera constitué de représentants de l’État, de magistrats, et d’organisation œuvrant pour le développement de la médiation.

L’APMF informe régulièrement ses partenaires institutionnels (le SADJAV, la CNAF, la DGCS, la MSA, l’UNAF, la FFER…) de ces réflexions partagées et de ces avancées et a sollicité la FENAMEF qui a rejoint ce collectif.

 

Les rédactions en cours :

  • Une définition de la médiation construite et approuvée par toutes ces organisations.
  • Trois chapitres sur :
    • L’Éthique et la Déontologie avec le projet de créer un Comité national scientifique d’éthique et de déontologie, notamment compétent pour veiller à l’éthique de la médiation.
    • La formation des médiateurs comprenant une formation de base de 200 h, l’accréditation des centres de formation, les conditions de la certification de tout médiateur, et celles d’un agrément pour exercer la médiation.
    • La création d’un statut de médiateur et la reconnaissance de la profession de médiateur.

L’APMF fait partie du groupe de travail d’harmonisation des documents et de rédaction.

 

Le Livre Blanc sera présenté aux pouvoirs publics, aux professionnels et au grand public à la fin du premier trimestre 2019.

 

COMMUNIQUE Mediation 21